L'oeuvre Histoire de Théodose le Grand de Esprit FLÉCHIER

Ecrit par Esprit FLÉCHIER

Citations de "Histoire de Théodose le Grand"

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DÉBANDÉ, ÉEUn reste de barbares errants et débandés qui le pillaient [l'empire] impunément
DÉBANDERIl apprit en même temps que leurs meilleurs soldats s'étaient débandés
DÉBAUCHERIl débauchait par promesses et par argent les troupes mêmes de l'empire
DÉCRIERIl s'était décrié partout où il avait voulu s'établir
DÉFAIT, AITEThéodose, averti le matin qu'un bataillon de barbares avait déserté, fut bien aise d'être défait de ces soldats infidèles
DÉFENSEURLe philosophe Thémistius et Symmaque même, ce grand défenseur du paganisme, avouent que les vertus de ce prince [Théodose] sont au-dessus de toutes les louanges qu'on lui a données
DÉLASSERAprès quelque séjour que cet empereur fit dans Aquilée, afin de se délasser des travaux de la guerre
DEMEURERDémophile demeurait aux environs de Constantinople, et ceux de sa secte le reconnaissaient toujours pour évêque de cette ville impériale
DÉMOLIRPour punir un si grand outrage, il [Théodose] résolut d'abord de confisquer tous les biens des citoyens d'Antioche, d'en brûler toutes les maisons avec tous ceux qui les habitaient, de la démolir jusque dans ses fondements
DÉMOLITIONThéodose reçut en même temps la nouvelle de la démolition du temple fameux de Sérapis dans Alexandrie
DÉPOSITIONPour une déposition dans les formes, il fallait une assemblée générale de tous les évêques de la province
DÉSOLATIONEn regardant de loin fumer leurs villes et leurs maisons réduites en cendre, ils pleuraient la mort de leurs proches et la désolation de leur pays
DIACONESSE ou DIACONISSEUne jeune veuve de qualité qui, vraisemblement par une dévotion peu solide, s'était élevée au rang de diaconisse, fit une confession de toute sa vie passée au pénitencier, qui lui imposa, pour l'expiation de ses fautes, des jeûnes et des prières extraordinaires
DIACREArsène, diacre de l'Église romaine
DIÈTEIl [Théodose] entretenait sa santé par un exercice modéré et par la diète
DISSIMULERThéodose était informé de ces désordres et dissimulait sagement jusqu'à ce qu'il fût en état d'y remédier
DIVERTIRLe dessein était de découvrir les intentions de ce prince, de le divertir de son entreprise
DIVINITÉArius et ses partisans y furent appelés [au concile] ; on les ouït, on les convainquit, on les condamna ; la divinité de Jésus-Christ fut reconnue
DOMPTEURThéodose se voyait pour la seconde fois dompteur des tyrans et maître absolu des deux empires
DONNERCeux qui restaient allèrent donner contre les chaînes des navires et furent tous ou assommés ou faits prisonniers
ENNUYÉ, ÉEEnnuyés de vivre dans un pays si inculte, et poussés par leur férocité naturelle, ils descendirent jusqu'aux environs de la Vistule
ENNUYERIl [Stilicon] s'ennuya de n'être que le tuteur, le beau-père, le favori et le maître même de l'empereur, et entreprit de mettre l'empire dans sa maison
ENTENDU, UEFort entendu au métier de la guerre
ÉTUDIÉ, ÉELeur discours étudié ne fit qu'augmenter les soupçons qu'on avait déjà de la trahison
FACILITÉEncore qu'il [Constantin] eût quelquefois un peu trop de facilité, il avait beaucoup de zèle pour la religion
FERMEIl [Valentinien] était chaste, libéral, humain, ferme dans la mauvaise fortune, et modéré dans la bonne
FIDÈLEIl [saint Ambroise] en parle comme d'un parfait fidèle
FOIAttribuant tout le succès de cette négociation au sophiste Libanius contre la foi de l'histoire et contre le témoignage des auteurs contemporains
FOIIl [Théodose] ordonnait que la foi de Nicée fût généralement reçue et approuvée dans toute l'étendue de son empire
FORCESaint Ascole, qui en était évêque [de Thessalonique], la défendit par la seule force de ses prières
FORCERChacun se plaignait de leur brigandage [des bandes de pillards], sans que personne pût les forcer dans leur retraite
FORMULELes plus habiles d'entre eux [évêques ariens] furent chargés de dresser ces formules [de chaque secte arienne] qu'ils concertèrent tous ensemble avec une extrême exactitude
FORTUNEIl supporta la mauvaise fortune sans faiblesse, comme il jouit de la bonne sans orgueil
GAGNERIl craignait l'événement d'un combat, et voulait à tout hasard gagner du temps
GOTHIQUEUlphilas leur évêque, premier inventeur des lettres gothiques, et traducteur de l'Écriture sainte en sa langue
GOUTTERésolu de défendre et l'Église et le pasteur jusqu'à la dernière goutte de son sang
GUÉIl [Théodose] faisait chercher des gués et faire des ponts avec une diligence incroyable
HARDI, IEStilicon était grand homme de guerre et grand politique, sage dans le conseil, hardi dans l'exécution, adroit à ménager les esprits
HÉRÉSIARQUELe supplice de cet hérésiarque ne fit que fortifier son hérésie
HONNEURLe prétexte de l'ambassade fut de redemander le corps de Gratien, pour lui rendre les derniers honneurs
HONORABLEMENTL'évêque Ulphilas, qui avait le secret de l'ambassade, se rendit en diligence au camp d'Andrinople, où il fut reçu honorablement
HUMAIN, AINEIl [Théodose] jugea que ceux-là ne seraient pas fermes dans la foi qui s'y engageaient par des motifs si faibles et si humains
HUMBLEMENTToutes les nations voisines étaient effrayées, et lui envoyaient des députés sur sa route pour lui demander humblement la paix
IMITERL'archevêque lui répondit : vous l'avez imité en son péché, imitez-le donc en sa pénitence
INDIFFÉREMMENTRendant justice indifféremment à tous ses sujets
INJUSTICEIl aima la paix, et craignait moins de souffrir une injustice que de la commettre
INTELLIGENCEAmphiloque, prélat vénérable par son âge et par l'intelligence des saintes Écritures
INTRUSIONIl [Maxime] partit promptement, et se rendit en Italie pour prévenir ceux qui n'étaient pas encore informés de sa vie scandaleuse et de son intrusion à l'épiscopat
IRRÉCONCILIABLELui représentant que c'étaient les ennemis irréconciliables de l'empire
IRRÉPROCHABLELe pape Damase, qui le connaissait pour un homme irréprochable et dans ses moeurs et dans sa foi
IRRUPTIONIls observèrent quelque ordre, et firent irruption dans la Thessalie et la Macédoine
LAISSERFritigerne leur laissa assouvir leur première rage
LECTEUR, TRICESisinne, qui n'était encore que lecteur dans leur Église [des novatiens]
LÉGATIONSaint Ambroise envoya d'abord un courrier à Valentinien, pour lui rendre compte du mauvais succès de sa légation [auprès de Maxime]
LEVÉEValens fit faire des levées dans le pays des Scythes
LEVERThéodose, apprenant ces heureuses nouvelles, leva les mains au ciel
MAINFlavien, préfet du prétoire, homme d'esprit et de grande expérience dans les affaires, mais fort adonné aux superstitions payennes, entretenait sous main ces cabales
MAINPour faire tenir la main, il ordonnait que les magistrats des villes où les ariens auraient fait quelque assemblée seraient punis très sévèrement
MANTEAUPersonne n'osait paraître en manteau dans toute l'Asie, de peur que la ressemblance de l'habit ne les fît prendre pour des philosophes
MARIAGECe fut environ ce temps-là qu'il [Théodose] défendit, sous des peines très rigoureuses, le mariage entre les cousins germains, renouvelant les édits anciens, qu'une licence effrénée avait entièrement abrogés
MATIÈREQu'en matière de religion les empereurs doivent être jugés par les évêques, et non pas les évêques par les empereurs
MESURELe pain s'y vendait un prix excessif, et ne s'y donnait que par mesure
MÉTROPOLEIls privèrent la ville [Antioche] du titre de métropole de la Syrie et de l'Orient et le donnèrent à Laodicée
METTREOn mit à feu et à sang tout ce qui se rencontra dans les villes ou dans la campagne, sans aucune distinction d'âge ou de sexe
MOUVEMENTLe choix d'un évêque devait se faire par un mouvement du Saint-Esprit, et non par un caprice populaire
MYSTÈREC'est l'ordinaire de mêler du mystère dans l'origine des villes et des États pour les rendre plus célèbres
NÉOPHYTEIl [Nectaire] fut baptisé ; et, comme il était encore revêtu de la robe de néophyte, il fut fait évêque, sans avoir apporté autre disposition à l'épiscopat que celle de ne l'avoir pas brigué
NEUVIÈMEIl disposa tout, et marcha le lendemain, neuvième d'août, dès la pointe du jour
NOMMERIl [Zozime] nomme ses libéralités profusions, sa modération fainéantise, ses festins d'amitié des dissolutions
OECUMÉNIQUEAinsi se termina sur la fin du mois de juillet ce concile [de Constantinople] que l'Orient reconnut comme oecuménique, et que le pape saint Grégoire mit depuis au nombre des quatre qu'il révérait comme les quatre Évangiles
OFFRANDELorsqu'il fallut aller à l'offrande, il [Théodose] se leva, s'avança vers l'autel, où il offrit ses dons comme il avait accoutumé
ORACLECet homme admirable [l'abbé Jean], qui était comme l'oracle de son siècle
ORDONNEROn l'avait ordonné fort jeune, sans avoir égard aux règles de l'âge
OUTRAGERIl reçut plusieurs blessures, et mourut généreusement pour sa patrie et pour un prince qui l'avait outragé
OUTRAGEUSEMENTL'empereur se mit en colère, et, le chargeant de la perte du dernier combat, lui reprocha outrageusement son peu de conduite ou son peu de coeur
OUVRAGEIl [Théodose] allait voir les ouvrages publics ; il rendait des visites à des particuliers et marchait sans garde et sans faste
OUVRIRIl [Théodose] venait le conjurer de rompre ses liens, et de lui ouvrir la porte du salut, au nom de Jésus-Christ, qui a ouvert celle de sa miséricorde aux pécheurs qui se repentent sincèrement
PANÉGYRIQUESaint Paulin, s'étant retiré à Nole, fit en l'honneur de ce prince [Théodose] une éloquente et docte apologie, que saint Jérôme appelle un excellent panégyrique, dont on ne saurait assez regretter la perte
PARL'un était brave par vertu, l'autre l'était par férocité
PARTIThéodose leur offrit des partis très honorables dans ses armées
PARTIIl y en eut près de vingt mille qui prirent parti en divers lieux parmi ses troupes
PASSERIl [Valentinien] envoya ordre à Équitius, qui commandait dans l'Illyrie, de passer jusque dans le pays des Quades
PASSERToutes les calamités publiques passaient dans son esprit pour des vengeances du ciel irrité
PASSIONNÉ, ÉEOn doit tenir pour suspect un historien visiblement passionné
PELOTONLeur manière de combattre par pelotons, et de se rallier un moment après leur déroute
PENCHERDès qu'il fut entré, Maxime, se levant de son trône, se pencha vers lui pour lui donner le baiser
PÉNITENCIERLes péchés devinrent si fréquents, et les évêques se trouvèrent chargés de tant de soins, qu'il fallut établir dans chaque église un prêtre pénitencier
PERDREL'empereur [Théodose], ayant appris ce désordre, en fut tellement irrité, qu'il résolut de perdre cette ville [Thessalonique], et condamna à la mort une partie de ses habitants
PERSUADERLa religion se persuade et ne se commande point
PORTÉ, ÉELes parents qu'on avait gagnés se plaignirent, qu'étant demeurée maîtresse de ses biens avant l'âge porté par les lois, elle [Olympias] les dissipait en présents et en aumônes indiscrètes
PORTERPortant encore sur leurs corps les glorieuses marques des tourments qu'ils avaient soufferts
PORTIQUEIl [Constantin] y bâtit [à Constantinople] un cirque, un amphithéâtre, des places, des portiques et d'autres édifices publics
POURVOIRIl [Valentinien] voulut pourvoir à son salut en se faisant baptiser, et à son repos en disgraciant Arbogaste
PREMIER, IÈRELe premier qui se rencontrait était le premier immolé
PRENDREPromote, un des lieutenants généraux de l'empereur, prit à gauche avec une partie de la cavalerie
PRENDREL'empereur, avec le reste, côtoyant la colline à droite, s'approcha des ennemis pour les prendre en flanc
PRÊT, ÊTEJamais prince ne fut plus docile et plus prêt à se corriger de ses défauts
PROCÉDEROn procéda contre les Macédoniens qui niaient la divinité du Saint-Esprit
PROFOND, ONDEL'empire jouissait d'une paix profonde depuis la défaite de Maxime
PROMPT, OMPTEThéodose était d'un tempérament prompt et ardent, et se laissait aisément emporter à la colère contre ceux qui l'avaient offensé
PROSPÉRITÉThéodose, voyant multiplier le nombre de ses enfants, et jouissant de la sincère amitié des peuples, reconnaissait que la piété était la véritable source du repos des États et de la prospérité des familles
RAMASIl était difficile de régler sous de mêmes lois ce ramas de tant de peuples différents
RAMASSÉ, ÉECes hommes petits de taille, mais forts et ramassés
REBELLEDes rebelles ramenés par la douceur, ou réduits à l'obéissance par la force
REBUTERIls vinrent plusieurs fois à la charge ; mais ils perdirent tant de monde, qu'ils furent enfin rebutés
REDIREIl l'interrogea, et lui fit redire plusieurs fois toutes les circonstances de ce songe
REGAGNERUn succès si heureux et si prompt, qui regagnait l'empire d'Occident, et assurait celui d'Orient à Théodose et à ses enfants, fut publié par tout le monde
RELEVERUn roi qui ne relevait de personne, et qui n'avait à répondre de ses actions qu'à lui-même
RELEVERLes Juifs ayant perdu tout espoir de se relever après les vains efforts que l'empereur Julien avait faits pour les rétablir
REMETTREThéodose, connaissant qu'il avait été surpris, et regrettant les maux qu'elle [Olympias] avait soufferts si constamment, la remit dans ses biens
REMETTREIl [Théodose] n'avait pensé en mourant qu'à laisser la paix et l'abondance à ses sujets, en remettant les injures qu'on lui avait faites, ou les tributs qu'on leur avait imposés
REMONTERLeurs armes [des barbares vaincus dans un combat naval] étaient d'une telle sorte, qu'encore qu'elles fussent assez pesantes, elles ne laissaient pas de remonter sur l'eau
REMPLI, IEPlus rempli des pressentiments de sa mort que des images de son triomphe
RENDREQuelques heures après il rendit doucement l'esprit, le dix-septième de janvier de l'année 395, l'an seizième de son empire et la cinquantième de son âge
RENONCEMENTDonnant de grands exemples de modestie, de prudence, de piété, et d'un parfait renoncement à tous les soins et à tous les plaisirs du siècle
RENOUERValentinien.... envoya Domnin, l'un de ses principaux ministres, afin qu'il renouât la négociation
RÉPANDRELa terreur se répandit parmi les peuples
REPASSERRicomer était repassé en Occident, pour en ramener un secours plus considérable
RETENIRIl [Théodose] épouvanta les hérétiques sans les punir ; il les retint dans l'obéissance
RETIRERCe prince [Théodose] ne jouira pas longtemps du fruit de sa victoire, et Dieu le retirera bientôt de ce monde
ROMPREIl [Valentinien] se rompit une veine, et tomba demi-mort entre les bras de ses officiers
RUINERGratien avait entrepris de ruiner la religion des païens, que son père, par politique, avait toujours épargnés
SÉANT, ANTERufin.... marcha avec un train plus superbe qu'il n'était séant à un particulier
SÉDITIONLes chrétiens s'y obstinèrent ; la chose en vint à une sédition ouverte
SENSC'était [l'impératrice Justine] une princesse fière, impérieuse, attachée à son sens, et prévenue de toutes les impiétés des ariens
SÉPARÉ, ÉETombant incessamment sur les uns ou sur les autres de ces barbares qui avaient leurs intérêts séparés, il les défit entièrement
SERMONCe dernier et célèbre sermon où il [Grégoire de Nazianze] rendit compte de son administration et de sa conduite
SIGNALERLes habitants de Thessalonique, affectionnés pour la gloire de leur prince et naturellement portés à toute sorte de spectacles, se signalèrent en cette occasion
SOLDEThéodose avait pris à sa solde les meilleurs soldats des Goths, des Huns, des Scythes et des Alains
SOLLICITERCeux qui venaient rendre compte des affaires publiques ou solliciter leurs affaires particulières
SONDERIl [Valentinien] sonda les esprits des gens de guerre
SORTIRLe saint répondit à cela sagement, qu'il avait soutenu les droits de l'Église, sans sortir du respect qui était dû à l'empereur
SOUSDepuis cette défaite [des barbares], les troupes se crurent invincibles sous Théodose
SUBSTANCEIl [Théodose] ordonnait que par tout son empire, selon la foi du saint concile de Nicée, on reconnût une seule substance indivisible dans la Trinité
SUITEEugène était un homme d'une naissance basse, qui, après avoir professé la rhétorique avec quelque réputation, avait quitté les écoles, et s'était mis à la suite de la cour
SUPERBESapor, qui savait être humble et superbe selon les temps, s'arrêta dès qu'il eut appris que l'armée de l'empire approchait
SURSur cette accusation, Théodose, l'ayant fait arrêter, commanda qu'on examinât rigoureusement cette affaire
SURPRENDREComme il avait affaire à des ennemis qui se dispersaient et se ralliaient à tous moments pour le surprendre, il résolut de les surprendre eux-mêmes
SURPRENDREIl [Théodose] se laissait quelquefois surprendre ; et, quoiqu'il eût les intentions bonnes, il était capable de faire de grandes fautes
SURPRISEComme il avait ordre de ménager les troupes, et que d'ailleurs il craignait les surprises
SYNODAL, ALELes pères du concile [en 381], après avoir arrêté les points de foi et de discipline... lui écrivirent [à Théodose] une lettre synodale...
SYNODELe pape Sirice, après avoir condamné ces hérésiarques [joviniens], envoya ses légats à Milan, pour y convoquer un synode, et pour étouffer ces nouvelles erreurs dans le lieu même où elles étaient nées
TEMPÉRAMENTIl [l'empereur Eugène] crut avoir trouvé un tempérament plausible, et ménagé par ses vaines distinctions une religion à laquelle il n'était pas fort attaché, et qu'il ne lui convenait pas pourtant d'abandonner
TENIRIl destina les gros navires à tenir le fleuve, et à tomber avec impétuosité sur les ennemis
TENTERIls eurent fait en peu de jours trois mille barques, et tentèrent le passage en divers endroits
TERMINERIl termina plusieurs guerres par sa valeur, et n'en entreprit aucune par ambition
TOMBERLe comte Arbétion, qui commandait ces escadrons ennemis, était prêt à tomber sur Théodose....
TOMBERLes uns eurent le plaisir de voir tomber de soi-même ce qu'on avait fait sans eux
TOUCHÉ, ÉEMaxime, touché le ses raisons, promit de leur sauver la vie
TOUCHERLe peuple.... rapportait comme un précieux trésor des linges qu'il avait fait toucher à son visage [de Mélèce évêque d'Antioche, mort au concile de Constantinople]
TRAHIRAinsi les uns trahissaient l'empereur par une préoccupation de religion ; l'autre trahissait sa religion par la passion qu'il avait de devenir empereur
TRANSFORMERPlusieurs témoignaient qu'il [Para, roi d'Arménie] avait le secret de transformer les hommes, ou de les consumer par des langueurs incurables
TRÉSORL'empereur reçut Arsène comme un trésor que le ciel même lui envoyait
TRÊVEAprès avoir perdu la bataille et demandé lui-même une trêve qui lui fut incontinent accordée
TUTEUR, TRICEThéodose déclara Stilicon tuteur de son fils Honorius, et lieutenant général des armées des deux empires
VENIRLes deux armées furent environ cinq jours en présence, sans que Maxime en voulût venir à un combat décisif
VERVEINELe magicien le plus savant de la compagnie, enveloppé d'un linceul, et portant en ses mains de la verveine, s'avança et commença ses invocations
VIOLERIl [Jovien] ne put consentir à aucune proposition de rupture, et ne voulut point violer la foi que le malheur du temps l'avait forcé de donner
VISITEThéodose était à Constantinople, et se préparait à la guerre par ses jeûnes, par ses prières, et par les visites fréquentes des églises
VIVREJamais prince ne véquit si bien dans son domestique
VOIRElle avait plus d'envie de le voir saint qu'elle n'avait de joie de le voir maître du monde
VOIRComme ils se virent rebutés, ils résolurent de passer malgré les Romains

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