L'oeuvre Le Cocher supposé de Noël LEBRETON, sieur de HAUTEROCHE

Ecrit par Noël LEBRETON, sieur de HAUTEROCHE

Date : 1684

Citations de "Le Cocher supposé"

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Utilisé pour le motCitation
AVEINDREComme Julie va pour heurter, elle rencontre Hilaire qui aveint son passe-partout
DRÔLEJe veux savoir absolument quel est ce drôle avec qui elle a des intelligences
ÉTRANGLERAh ! maraud, il faut que je t'étrangle
FAIREIl me souvient que votre oncle a déjà commencé par un soufflet, à faire le Jupiter sur mon visage
FIEFFÉ, ÉEJe veux dire que tu es un coquin fieffé
FOMENTERIl faut, pour bien fomenter ce raccommodement, que vous demeuriez dans mon logis avec votre mari
FRANC, FRANCHEElle est assez jolie, mais, tout franc, vous l'êtes encore plus qu'elle
HARDESVa faire apporter mes hardes à l'hôtellerie ; surtout cache bien qui je suis
HEMAs-tu l'effronterie de m'assurer que tu n'as rien vu ? hem ! réponds, parle
INCONSTANT, ANTEPour moi, je ne mourrai pas satisfaite que je n'aie assommé l'inconstant
MARTELQue dites-vous du billet que j'ai écrit à M. Eutrope, pour lui donner martel en tête, et traverser votre amant dans ses nouvelles amours ?
METTREEt à toi, de mettre les chevaux au carrosse sans ma permission
MEURTREC'est un meurtre, que vous soyez la femme d'un fat comme lui
MINOTJe dis, monsieur, que je n'aime point une telle réponse, et que nous ne mangerons pas un minot de sel ensemble
MONSIEURJe la vis hier dans le bois de Vincennes, en grande conversation avec un monsieur que je ne connais point
MOYENJ'ai de la joie de vous voir en bonne intelligence, et que ce soit par mon moyen
MUGUETDis-moi un peu, quel est ce muguet qui se rencontre à toutes les promenades que fait ma nièce ?
NEZMonsieur, il ne faut jamais qu'un serviteur mette le nez dans les affaires de ceux dont il mange le pain
NORMAND, ANDEQue cela peut être vrai, et peut être faux ; la réponse est un peu normande
ONQu'on l'embrasse tout à l'heure devant moi ; qu'on lui témoigne son repentir et qu'on la prie de vouloir te pardonner
PARDONNEROn pardonne aisément aux personnes qu'on aime
PARTICULIER, ÈREDans ces sortes de réconciliations, le particulier de l'homme et de la femme est un grand secours pour terminer bien des contestations
PASSERAssommons ce trompeur ; ah ! traître ! ah ! scélérat, tu passeras par nos mains
PRENDREEntrez dans ce cabinet, pour nous écouter, et vous verrez comme je vais prendre la chose
PROMESSEApprenez, monsieur, que, pour mon malheur, j'aime ce perfide, que j'ai de lui une promesse de mariage
PROMETTREJe vous ai promis ma nièce, et je vous la promets
REMETTREEst-ce se moquer de toi, quand je veux te remettre bien avec ta femme ?
RENDRELe petit degré qui rend à votre garde-robe
RÔDEREt moi, Morille, je rôdais autour d'ici, pour voir si je pourrais te rencontrer
SOUTENIRVeux-tu soutenir que cela n'est pas véritable ?
TENIRAh ! c'est à ce coup que nous te tenons, pendard
TIERS, ERCEUn tiers est toujours incommode en de pareilles rencontres
TOUCHERMais, pour l'amour de moi, touchez-vous dans la main
VALOIRMa foi, tout coup vaille, voyons où la chose ira
VANITÉJe puis dire sans vanité, que, dans tout Paris, il n'y a point de cocher qui prenne tant de soin de ses chevaux que moi
VOULOIRUn certain drôle qui, dit-on, en veut à ma nièce

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