L'oeuvre Macbeth de Jean-François DUCIS

Ecrit par Jean-François DUCIS

Date : 17

Citations de "Macbeth"

Pages 1

Utilisé pour le motCitation
ABATTEMENTIl est des jours d'ennui, d'abattement extrême, Où l'homme le plus ferme est à charge à lui-même
ACCORDERHélas ! ces deux partis, sans pouvoir se détruire, Ne se sont accordés qu'à déchirer l'empire
ACTIF, IVECruel dans l'indolence, actif en sa mollesse, Sa vile ambition s'aigrit par la paresse
ADMIRERJ'admire avec terreur De ce désert muet la ténébreuse horreur
CIELTout ciel est agréable où notre âme est paisible
COURONNERQuelque horreur que d'abord un attentat nous donne, L'horreur en diminue alors qu'il nous couronne
DÉESSEEst-il vrai qu'on a vu des déesses livides Dans nos sombres forêts cacher leurs pas perfides ?
DÉVOREREt semble d'un regard dévorer l'avenir
DIFFORME.... Quel aspect ! non l'oeil humain jamais Ne vit de plus affreux, de plus difformes traits
DOIGTLeur doigt mystérieux [des sorcières] se posait sur leur bouche
DOUTEUX, EUSEAu jour faible et douteux des astres qui pâlissent
DROITUREUn mortel généreux connaît mal l'imposture ; Aisément dans un autre il croit voir sa droiture
ÉCLAIRC'est ce corps endurci, ce port audacieux, Ce bras toujours armé, cet éclair de ses yeux
EFFACERCe peu de sang que ta main va verser, Quelques soins d'un moment vont bientôt l'effacer
ENFLAMMÉ, ÉEPrès d'un chêne enflammé devant moi se présentent Trois femmes....
ENFLAMMERDes fureurs du désir son sang est allumé, La couronne l'enflamme et le charme est formé
ENSEIGNERLes moeurs qu'en ce désert enseigne la nature
ENVISAGERVotre devoir est grand, osez l'envisager
ÉVEILLERC'est moi qui la première éveillai son courage
FRAPPÉ, ÉETon esprit, je le crois, du trône encor frappé Toujours du même objet est donc préoccupé ?
FRÉMIRMon coeur frémit de joie
FUSEAUJe suis d'un sexe faible, au fuseau destiné
GÉMISSANT, ANTEIls pensent voir errer sur des nuages sombres De Glamis, de Duncan les gémissantes ombres
GÉNÉREUX, EUSEUn mortel généreux connaît mal l'imposture
HÉROÏQUEPour vous de mes travaux compagnons héroïques...
HURLERCes trois soeurs qui, d'Odin ranimant les soldats, Couraient, volaient, frappaient, hurlaient dans les combats
INFLEXIBILITÉTu n'as point, ô Macbeth, épargnant tes victimes, L'inflexibilité qui convient aux grands crimes
LANCERQu'on lui donne mon arc : nous verrons si sa main Aux monstres des forêts lance un coup plus certain
LIBREMENTJ'exerçais librement ma force et mon adresse
LIVIDEEst-il vrai qu'on a vu des déesses livides Dans ces sombres forêts cacher leurs pas perfides ?
MAGIQUEAu bruit du feu magique, aux accents du tonnerre
MANQUERLes dieux ont fait manquer ton entreprise horrible
MARCHERQue le temps qui s'enfuit marche à pas lents pour nous !
MONSTRUEUX, EUSEPar des mots inconnus ces êtres monstrueux S'appelaient tour à tour, s'applaudissaient entre eux
MONTAGNARD, ARDEDe l'oeil du montagnard l'audace et la fierté
MYSTÉRIEUX, EUSELeur doigt mystérieux se posait sur leur bouche
OBJECTERIl ne m'objecte plus dans un humble langage Ces timides raisons qui glacent le courage
PALPITERQuelle sombre fureur ou quel secret dessein De terreur ou d'espoir fait palpiter son sein ?
QUANDFantôme horrible, arrête ! Arrête ! Hé depuis quand, couverts de leurs lambeaux, Ces spectres déchaînés sortent-ils des tombeaux ?
RIS[Elles] S'approchaient, me montraient avec un ris farouche
SANG-FROIDMassacrer de sang-froid un enfant au berceau
SONGENos songes sont souvent des délateurs secrets, De nos voeux les plus sourds confidents indiscrets
SONNERSa mort sonne ; une.... deux.... c'est l'instant de frapper
SORTQuand le sort une fois a marqué sa victime, Rien ne change l'arrêt, injuste ou légitime

Pages 1