L'oeuvre Ruy Blas de Victor HUGO
Ecrit par Victor HUGO
Date : 1838
Citations de "Ruy Blas"
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Utilisé pour le mot | Citation |
CALAMBAC | .... Vous allez partir de Madrid tout à l'heure, Pour porter cette boîte en bois de calembour à mon père, monsieur l'électeur de Neubourg |
CRÉDULE | Ah ! quand j'avais vingt ans, crédule à mon génie |
ESTEUF | Mais bah ! vous voulez être un gaillard populaire, Adoré des bourgeois et des marchands d'esteufs |
GUEUSERIE | Quel est donc ce brigand qui, là-bas, nez au vent, Se carre, l'oeil au guet et la hanche en avant, Plus délabré que Job et plus fier que Bragance ; Drapant sa gueuserie avec son arrogance ? |
JUSTE | Quoi ! ce Bohémien, ce galeux, ce bandit ? Ce Zafari ? ce gueux, ce va-nu-pieds ? - Tout juste ! |
LAISSER | Ma foi, laissons-nous faire, et prenons ce qui s'offre |
LAQUAIS | Je dis... qu'à nous deux, Monseigneur, nous faisons un assemblage infâme : J'ai l'habit d'un laquais, et vous en avez l'âme |
LAVANDIÈRE | Ce sont les lavandières Qui passent en chantant là-bas dans les bruyères |
MYSTÉRIEUX, EUSE | Maison mystérieuse et propre aux tragédies ! |
NAIN, AINE | Ô géant ! se peut-il que tu dormes ? On vend ton sceptre au poids ; un tas de nains difformes Se taillent des pourpoints dans ton manteau de roi |
OEIL | Tous, taillant et hurlant, en bandits que nous sommes, Oeil pour oeil, dent pour dent, c'est bien ! hommes contre hommes ! |
RÔLE | Mon cher, quittez ce rôle ; Vous m'ennuyez beaucoup, si vous vous croyez drôle |
SAVOIR | Cet argent, voilà ce qu'il faut que j'ajoute, Vient de qui vous savez, pour ce que vous savez |
TAILLER | Ô géant [Charles-Quint] !.... On vend ton sceptre au poids ! un tas de nains difformes Se taillent des pourpoints dans ton manteau de roi |
TÉNÉBREUX, EUSE | Celui-là.... N'est pour moi qu'un maraud sinistre et ténébreux |
TENIR | Je te tiens écumant sous mon talon de fer ! |
TINTAMARRE | Fût-il Suivi de cent clairons sonnant des tintamarres |
TORTUEUSEMENT | Celui qui bassement et tortueusement Se venge... |
TRANQUILLE | Je vais faire un scandale affreux ; soyez tranquille |
TROGNONNER | Une duègne, affreuse compagnonne Dont la barbe fleurit et dont le nez trognonne |
VRAI, AIE | Mais je dérange tout, pas vrai, dans ce moment ? |
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