L'oeuvre Les rayons et les ombres de Victor HUGO
Ecrit par Victor HUGO
Date : 1841
Citations de "Les rayons et les ombres"
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Utilisé pour le mot | Citation |
ASSOMBRI, IE | Pencher votre beau front assombri par instants |
AURÉOLE | Ô palais, sois béni ! sois bénie, ô ruine ! Qu'une auguste auréole à jamais t'illumine ! |
AZUR | Mais dans ce ciel troublé d'un peu de brume à peine, Où tout semblait azur.... |
ESTOMPER | Chandelier de fer, que la brume estompe |
IDÉE | La forme, ô grand sculpteur, c'est tout et ce n'est rien ; Ce n'est rien sans l'esprit, c'est tout avec l'idée |
LIBELLULE | La frissonnante libellule Mire les globes de ses yeux Dans l'étang splendide, où pullule Tout un monde mystérieux |
LUGUBRE | Où sont-ils les marins sombrés dans les nuits noires ? Ô flots ! que vous savez de lugubres histoires ! |
LUSTRÉ, ÉE | En classe, un banc de chêne, usé, lustré, splendide, Une table, un pupitre |
MARCHER | Est-ce que vous pouvez, sans tristesse et sans plainte, Voir nos ombres flotter, où marchèrent nos pas ? |
MARÉE | Ô flots, que vous savez de lugubres histoires !.... Vous vous les racontez en montant les marées, Et c'est ce qui vous fait ces voix désespérées, Que vous avez le soir quand vous venez vers nous ! |
MARIN, INE | Où sont-ils les marins sombrés dans les nuits noires ? |
MÊLER | D'autres viendront... Puiser dans cet asile heureux, calme, enchanté, Tout ce que la nature à l'amour qui se cache Mêle de rêverie et de solennité |
MONTER | Ô flots, que vous savez de lugubres histoires !... Vous vous les racontez en montant les marées |
NATURE | L'impassible nature a déjà tout repris |
OREILLE | Ne leur irez-vous pas murmurer à l'oreille : Vous qui vivez, donnez une pensée aux morts ? |
PACIFIQUE | Il contempla longtemps les formes magnifiques Que la nature prend dans les champs pacifiques |
PÂLIR | Parfois le laboureur, sur son sillon courbé, .... rouvrant des tombeaux pleins de débris humains, Pâlit de la grandeur des ossements romains |
RÉPANDRE | Ami, cache ta vie et répands ton esprit |
RETOMBER | Ainsi parfois, quand l'âme est triste, nos pensées S'envolent un moment sur leurs ailes blessées, Puis retombent soudain |
RETRAITE | Les retraites d'amour, au fond des bois perdues |
SEREIN, EINE | Que peu de temps suffit pour changer toutes choses ! Nature au front serein, comme vous oubliez ! |
SYLVAIN | Je lui dis : vous étiez du beau siècle amoureux ; Sylvain, qu'avez-vous vu, quand vous étiez heureux ? |
TENIR | Vous êtes, ô vallon, la retraite suprême, Où nous avons pleuré, nous tenant par la main |
THÈME | En classe.... j'écrivais sans peur, mais sans système, Versant le barbarisme à grands flots sur le thême |
THÉORIE | Loin de vous, saintes théories, Codes promis à l'avenir, Ce rhéteur aux lèvres flétries |
VEILLÉE | On s'entretient de vous parfois dans les veillées |
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